
Ce que les chercheurs ont pu établir avec certtitude, c'est qu'il est rare que plus de la moitié d'un trait de charactère soit définit par la génétique. Rien n'est "écrit" ou coulé dans le béton. Mais entre Nature et Nurture, il y a bien des tons de gris. En voici quelques uns.
L'extraversion et la prise de risques. L'un des facteurs du développement de la personnalité sur lesquels la génétique joue un grand rôle est sur notre propension (ou notre réticence) à prendre des risques, et notre degré d'extraversion. Que les parents d'un enfant timide ne se découragent pas, puisque ce trait peut être adoucit, mais leur enfant ne sera jamais extraverti.
Le bonheur. Non, évidemment, le bonheur n'est pas lui-même attribuable a des traits génétiques. Mais la moitié des traits qui prédisposent quelqu'un au bonheur seraient d'ordre génétique: comme le degré d'angoisse ou le niveau de sociabilité.
Le Q.I. Aux différents stades de développement d'un enfant, l'environnement et les efforts déployés par les parents et éducateurs pour entourer l'enfant de stimulations seront inestimables. Le Q.I. de celui-ci sera en très grande partie relié à ces stimulations. Toutefois, avec l'arrivée de l'adolescence et de la vie adulte, la génétique semble surprennemment reprendre le dessus et vient égaliser tout ça. L'enfant de 3e année qui a eu un "A" pourra donc remercier chaleureusement ses parents plus tard. Mais le biochimiste ou le récipiendaire d'un doctorat pourra simplement les remercier de leur soutient.
À suivre...
2 commentaires:
Tu oublies l'autre forme de division des caractéristiques : les défauts qui viennent du père et les qualités qui viennent de la mère!!!! ;0)
Hahaha! Je vais lui faire le coup du: "Va voir ton fils, là... il pleure". Pour ensuite me vanter en disant: "Regarde s'il est brillant, mon fils, il a fait un beau dessin!"
Tu connais tous les trucs ;o)
jxx
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